- Éviter une éjaculation rétrograde (émission de sperme vers la vessie au lieu de l’urètre) survenant dans 80% des cas après une chirurgie contre 2% lors de l’embolisation.
- Conserver une activité sexuelle satisfaisante après l’intervention.
- Éviter les effets secondaires des médicaments prescrit dans l’adénome de prostate comme la dysfonction érectile ou l’hypotension orthostatique.
- Éviter la mise en place d’une sonde urinaire contrairement à la chirurgie.
- Une récupération plus rapide car l’intervention est dite « minimal-invasive ».
- Retarder la programmation d’une intervention chirurgicale.
- Le traitement n’est pas nécessairement définitif, le taux de récidive est à hauteur de 30% à 5 ans cependant une réintervention peut-être envisagée.
- Le syndrome post-embolisation, bien que transitoire, il se manifeste durant les 2-3 jours après l’embolisation, il est complètement réversible et associe un état fébrile ainsi que des douleurs pelviennes et mictionnelles.
- Vous êtes admis à l’hôpital de jour puis vous rentrez à domicile le jour ou le lendemain de l’intervention.
- La diminution des symptômes apparait à partir de 15 jours.